L’enquête lancée par l’APLV concernant la validation A2 au Diplôme National du Brevet (DNB) a recueilli 165 réponses.

Ces réponses ont donné lieu à l’élaboration de trois documents :
 une synthèse des réponses ;
 une analyse de cette synthèse ;
 des « propositions » aux fins de concertation et d’action commune avec les autres associations et syndicats.

Tous ces documents sont consultables et téléchargeables ci-dessous au format PDF.

Par ailleurs, dans une note ministérielle en date du 12 février 2008 adressée aux Recteurs, IA et IPR de langues vivantes, il est écrit :

"Dans le prolongement de la note de service du 9 janvier 2008, publiée au B.0. du 17 janvier dernier, il convient d’apporter quelques précisions concernant les modalités d’évaluation du niveau A2.
Chaque activité langagière fait l’objet d’une évaluation spécifique. Au cours de la phase de mise en oeuvre du CECRL et pour cette première année de prise en compte au diplôme national du brevet du niveau A2, le niveau des élèves sera apprécié, tant à l’écrit qu’à l’oral, de manière globale : les grilles de référence déjà en ligne sur le site Eduscol constituent un outil auquel les enseignants se référeront utilement.
Par ailleurs, il est rappelé que l’évaluation des activités langagières est continue et doit pas donner lieu à la mise en place d’une épreuve particulière.
La fiche attestant la maîtrise ou la non-maîtrise du niveau A2, publiée en annexe de la note de service du 9 janvier, doit être signée par le chef d’établissement.« Une question : que peut bien signifier que »le niveau des élèves sera apprécié, tant à l’écrit qu’à l’oral, de manière globale« , alors même que l’on écrit par ailleurs que »chaque activité langagière fait l’objet d’une évaluation spécifique« (et dans la fiche à laquelle il est fait allusion, effectivement, chacune des cinq activités langagières apparaît séparément avec la mention »à valider") ?

Est-il si difficile d’être clair, une fois pour toutes, de manière à éviter ensuite à différents niveaux hiérarchiques ces gloses contradictoires qui exaspèrent les enseignants de langue depuis des mois ?!

Christian Puren