Apprendre les langues : une question de confiance
Enseigner les langues dans les formations professionnalisantes
Sylvestre Vanuxem est président d’honneur de l’APLV.
L’APLV était présente à la conférence de presse des signataires de la pétition en défense des missions de l’INRP du 5 novembre 2010.
Nous publions ici la déclaration de Line Audin, professeur d’anglais en collège, ex-professeur associé à l’INRP.
Son travail de recherche, ancré sur l’observation du terrain, a aidé de nombreux professeurs dans leur pratique quotidienne.
L’APLV appelle ses adhérents à signer la pétition pour que l’INRP ait les moyens de développer ses missions au service de la recherche, de l’éducation et de la formation.
Réponse du président de l’APLV à l’article du site VousNousIls : Comment dynamiser l’apprentissage des langues ?
Parmi les propositions de Valérie Pécresse : repenser les épreuves de langues vivantes et ouvrir les concours aux langues maternelles des candidats.
Sylvestre Vanuxem est président d’honneur de l’APLV.
L’appel 100 000 voix pour la formation soutenu par la plupart des syndicats et de nombreuses associations - dont l’APLV - vient de dépasser les 100 000 signatures.
La mobilisation continue.
L’APLV s’élève contre la décision du MEN qui informait le vendredi 2 juillet le CRAP-Cahiers pédagogiques et le GFEN qu’il diminuait de moitié les subventions, pourtant déjà fort maigres, accordées jusqu’ici à ces deux associations.
Réponse du doyen des langues de l’inspection générale à l’APLV.
Parmi les commentaires recueillis, on sent une grande frustration chez les collègues. D’un côté ils se sentent désavoués quand leur avis n’est pas respecté, soit par leur chef d’établissement, soit par le jury « souverain ». De l’autre côté ils trouvent injuste qu’une matière soit éliminatoire pour l’obtention du DNB, ce qui aurait tendance à les rendre « indulgents ».
Cette entrevue avait été demandée suite à la publication de la brochure de présentation du « Nouveau lycée ».
La quasi totalité des associations de spécialistes des disciplines enseignées au lycée ont signé un texte commun en vue d’alerter le ministre de l’Education nationale des méfaits de certains aspects de la réforme en cours d’application.
Ce texte est une réaction au dossier langues vivantes paru dans le supplément du Monde éducation du 10 février 2010.
L’APLV partage le point de vue exprimé par ce texte et soutient les propositions qui y sont formulées.
L’APLV condamne une réforme qui fait l’économie d’une réflexion fondamentale, à la base de toute formation des maîtres de qualité : quelle doit être, tout au long du cursus universitaire –et pas seulement en Master- l’articulation entre les savoirs à enseigner et les savoirs pour enseigner ?
L’APLV appelle ses adhérents à signer la pétition mise en ligne à l’initiative de la Coordination Nationale Formation Des Enseignants.
Constat que la généralisation de l’enseignement d’une langue vivante à partir du CE1 n’a pas été accompagnée d’une formation des personnels suffisante avec, comme conséquence, une offre de formation très inégale en LV d’une école à l’autre.
Suite à son Assemblée Générale du 28 novembre 2009 l’APLV a adressé un courrier à Luc Chatel pour lui donner son point de vue sur la réforme du lycée et demander un entretien.