Apprendre les langues : une question de confiance
Enseigner les langues dans les formations professionnalisantes
Un second courrier a été envoyé le 5 juin 2008 au Ministre de l’Education nationale, en l’absence de réponse à un courrier précédent en date du 12 mars 2008.
A propos de la demande du Ministère d’attester le niveau A2 pour les candidats au DNB.
Xavier Darcos veut « s’attaquer aux langues rares, qui permettent de gagner des points mais coûtent cher ».
Présentation des résultats de l’enquête de l’APLV sur la validation A2 au DNB, des propositions élaborées au cours de la réunion interassociative et intersyndicale du 19 mars 2008, et demande d’audience.
Les signataires de la pétition dénoncent les conditions dans lesquelles se met en place la validation du niveau A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) pour l’obtention du Diplôme National du Brevet à la session 2008, et estiment nécessaire un moratoire jusqu’à la session 2010.
Compte rendu de la réunion proposée par l’APLV suite à l’enquête sur la validation de la langue vivante étrangère au Diplôme National du Brevet 2008 mise sur son site le 22 février 2008.
Documents publiés par l’APLV à la suite de cette enquête : 1) une synthèse des réponses ; 2) une analyse de cette synthèse ; 3) des « propositions » aux fins de concertation et d’action commune avec les autres associations et syndicats.
L’APLV a lancé le 22 janvier une enquête au sujet de la validation de la langue au Diplôme National du Brevet 2008, sous forme d’un questionnaire qui était à remplir et à renvoyer avant le 4 février. Une analyse des quelques 160 réponses obtenues sera prochainement publié sur le site de l’APLV.
Cette note s’intitulait « Les professeurs de langues vivantes » : la passion des langues au service des élèves ». Le Bureau de l’APLV regrette que l’absence du ou des questionnaires utilisés rendent difficile le contrôle des interprétations fournies par les auteurs de cette synthèse.
La notion de complémentarité avec les autres matières fait partie intégrante des enseignements de langues vivantes, d’une part parce que les professeurs de langues n’enseignent pas de contenus, mais un vecteur de communication qui, en situation réelle, contribuera à l’échange d’informations dans des domaines particuliers, ou, en milieu scolaire, pourra être mis au service d’autres matières (...). D’autre part parce que l’ouverture vers d’autres pays et d’autres cultures est un des objectifs essentiels de l’enseignement d’une langue en France et qu’une certaine connaissance des autres pays est nécessaire à la compréhension de notions enseignées dans les autres matières.
Les président de l’APLV demande au ministre de l’éducation nationale et à la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche de se pencher sur la question de « l’exception pédagogique » permettant aux professeurs de langue d’utiliser librement des documents audio et vidéo authentiques en classe de langue
Citoyenneté, pratiques de classe, traitement de l’échec scolaire, alternatives au redoublement
Monsieur le Ministre,
Vous avez récemment annoncé votre intention d’initier une réforme des Instituts Universitaires de Formation des Maîtres afin de les rendre mieux à même de préparer les futurs enseignants aux réalités du métier qu’ils ont choisi.
« Initiatives en faveur du plurilinguisme : coopération entre les associations de
professeurs de langues et le CELV » - Astrid Guillaume (APLV) et Héléna Hanuljakova (Association internationale des Professeurs d’allemand)
L’objectif de cet atelier était de mettre en contact différentes associations européennes d’enseignants en langues, afin d’établir en Europe un réseau de professionnels des langues pouvant mettre en place avec le CELV des initiatives en faveur du plurilinguisme.
Les participants avaient pour mission avant l’atelier d’établir une liste des associations (monolingues et plurilingues) d’enseignants en langues de leur pays, d’informer les représentants de ces associations de la tenue de l’atelier JEL 2006, de les inviter à organiser en commun avec le CELV des actions en faveur du plurilinguisme, de publier l’annonce de la
tenue de l’atelier dans leur revue et/ou sur leur site. Mis à part quelques exceptions, ces tâches pré-atelier ont été accomplies.
Maurice Antier, Rédacteur en chef des Langues Modernes de 1953 à 1957, était à l’honneur lors de la cérémonie du bicentenaire du Lycée David d’Angers, où il a été élève de 1929 à 1936 puis professeur d’anglais de 1945 à 1950.