"Le ministre veut s’attaquer aux langues rares, qui permettent de gagner des points mais coûtent cher.
Incroyable et… vrai ! Les lycéens peuvent opter pour 59 langues vivantes et régionales au bac : de l’haoussa (une langue nigériane) au tamoul en passant par le corse et le catalan. Trente-neuf d’entre elles peuvent être suivies au lycée, les autres sont « passées » devant un enseignant le jour de l’examen mais n’ont pas forcément fait l’objet de cours, tellement elles concernent un nombre limité d’élèves."
Etc. : on aura compris la tonalité de cet article du Figaro, qui laisse malgré tout une toute petite place à une réserve au Président de l’APLV : "Les enseignants de langues vivantes ont bien compris que le ministre voulait s’attaquer au système. Ils tirent la sonnette d’alarme. "Ce serait dommage de fermer la porte à un espace de liberté des élèves", explique Sylvestre Vanuxhem (sic), Président de l’Association des Professeurs de Langues vivantes (APLV). Mais la machine semble en marche."
Lire l’article d’Aude Sérès sur le site du Figaro