Sylvestre Vanuxem, président d’honneur de l’APLV, a répond aux questions de Quentin Duverger.
Est-ce que l’anglais n’est pas trop omniprésent ?
Cela a toujours été le propos de l’APLV. Comme nous sommes une association multilingue, nous estimons que toutes les langues sont intéressantes. D’autant qu’avec cette omniprésence mondiale, l’anglais est aujourd’hui considéré plus comme un vecteur de communication, que comme une langue, avec ses racines culturelles. C’est dommage, ça vide l’anglais de sa substance, et ça rend notre profession moins intéressante.
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