Par Pierre Frath, professeur de linguistique anglaise et de didactique du plurilinguisme à l’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA), directeur de la Maison des Langues, directeur-adjoint du CIRLEP, un des groupes de recherche de l’URCA.
Site personnel : http://www.res-per-nomen.org
La publication de cet article s’inscrit dans la continuité de la politique de l’APLV en faveur du plurilinguisme et de la diversification de l’enseignement des langues vivantes, contre la tentation du tout-anglais et contre le conformisme qui règne dans le domaine de la politique linguistique en France, du plus haut niveau de l’État jusqu’au moindre centre de décision ou de proposition.