Ce numéro des Langues Modernes est mon dernier numéro en tant que Rédactrice en chef. Appelée à de nouvelles fonctions, je quitte les Directions éditoriales de la revue, du site www.APLV-Langues Modernes et de la Lettre électronique hebdomadaire APLV-Langues Modernes.
Ces années passées à la tête de la revue et du site m’ont permis de travailler avec deux équipes à la modernisation de ces deux organes de diffusion essentiels pour la reconnaissance, la promotion et l’avenir de l’APLV. Que soient ici chaleureusement remerciés les membres de ces deux équipes, les adhérents, lecteurs, internautes, collègues, amis, organismes et partenaires institutionnels français et européens, qui ont apporté leur aide par leurs conseils ou autres dans cette rénovation, que mes successeurs sauront poursuivre pour que l’APLV conserve la place qui est la sienne au sein d’une société moderne et exigeante intellectuellement et technologiquement.
C’est dans cette optique que je transmets le flambeau à Bernard Delahousse, prochain Rédacteur en chef des Langues Modernes, Marie-Pascale Hamez, Rédactrice en chef adjointe, et Christian Puren, Directeur éditorial du site et de la Lettre électronique hebdomadaire APLV-Langues Modernes.
A l’heure de refermer mon dernier éditorial, je tiens à remercier l’équipe des graphistes du studio be-pôles (www.be-poles.com), plus particulièrement Olivia Jourde, Directrice artistique, et Antoine Ricardou, Directeur de création, d’avoir créé la maquette actuelle de la revue à l’occasion de ses 100 ans, et d’avoir accepté de la mettre en page à un « tarif associatif ».
Ce numéro 3/2007, remarquablement coordonné par Ruth Huart (Université Paris Diderot), en partenariat avec l’ALOES (Association des Anglicistes pour les études de Langue Orale dans l’Enseignement Secondaire et Supérieur), s’inscrit dans la continuité du numéro précédent sur Temps, modes et Aspects : il invite à une réflexion approfondie sur les méthodes et pratiques d’enseignement de la compétence phonologique et de l’oral, inégalement développées en fonction des langues et des niveaux éducatifs, il passe en revue différentes approches, présente plusieurs expériences menées en classe pour optimiser accent, accentuation et prononciation. Il laisse la parole à des enseignants d’allemand, d’anglais, de FLE, de russe avec des interventions très diversifiées de l’Ecole maternelle à l’Université que vous retrouverez dans la revue et sur le site.
En cette rentrée 2007-2008, deux nouveaux débats de la rubrique des Langues Modernes « Matière à discussion » ont été lancés sur le site www.APLV-Langues Modernes à la demande de deux lecteurs : Michel Reith, parent d’élève, a souhaité intervenir sur l’enseignement précoce des langues, et Alain Fenet, Professeur des Universités, a souhaité présenter, à l’heure de son départ à la retraite, un bilan de fin de carrière. Vous êtes invités à participer à ces deux débats en ligne.
Il me reste à souhaiter la bienvenue à Frédéric Garnier, agrégé d’allemand au Lycée de Neuilly-sur-Marne (93), qui représentera désormais la langue allemande au Comité de lecture des Langues Modernes.
Bonne lecture à tous !